Ton visage, ombre,
Ô blancheur diaphane.
Ton regard, si sombre,
Luit de peurs profanes.
Ce corps qui s'étire
Qui s'étend et prétend
Que vivre martyre
Est foi d'un autre temps
Gestes et sourires
Paroles et sentiments
Chaque heure de délire
Est un coeur qui te ment.
26/01/2001