next up previous contents
Next: Au firmament d'Aurélie Up: Poèmes du cherche-midi Previous: Attente   Contents

Impressions

 

Ton visage, ombre,
Ô blancheur diaphane.
Ton regard, si sombre,
Luit de peurs profanes.
 
Ce corps qui s'étire
Qui s'étend et prétend
Que vivre martyre
Est foi d'un autre temps
 
Gestes et sourires
Paroles et sentiments
Chaque heure de délire
Est un coeur qui te ment.
 

26/01/2001



VERHILLE Arnaud 2001-09-20